Couple:perdue, break imposé et violence conjugale

Bonjour, a tous et a toute. Je viens ici pour exprimer mon vécu, vider mon sacs si je puis le dire. J'ai 36 ans et trois enfants d'une précédente union. Pendant mon divorce, j'ai rencontré un homme, sa a fait tilte dans nos tête et dans nos coeurs a tout les deux. Nous nous sommes donc mis en couple, et six mois après nous avons enménager ensemble. Mes enfants ont subi une séparation avec leur père assez douloureuse et ils avaient l'air content de cette nouvelle vie. Je me suis souvent posés des questions sur cet homme dont j'étais éperdument tombé amoureuse. Des questions sur son honneteté, sa fidélité, sa sincérité. Je sais que c'était un homme a femme, un beau parleur. Je sais qu'il a eu des relations et des séparations difficiles. Cependant je me laissais bercer par ces paroles. Si mois après nous déménagions à 800km, pour un nouveau départ a cinq. Les journée passent, nous trouvons des petits boulots mais pas de stabilité au niveau de l'emploi. Nous nous sommes toujours senti bien tout les deux, nos journée n'étaient pas remplie, mais nous étions ensemble. Au bout de deux ans, quelques sortis entre copains (toujours ensemble), la soirée prend une autre tournure et la, la claque arrive. Je me dit que j'ai peut être pousser le bouchons trop loin. De la je culpabilise, essais de trouver des solutions. Notre couple s'apaise, un temps. Les mots et les reproches s'installent. "Je ne suis avec lui que pour son argent, que je peux aller me faire s............ailleurs, qu'il a de plus en plus de mal a supporter mes enfants." Il me rebaisse mais je suis forte. Je pense qu'il a un gros problème, l'alcool. Sans l'alcool, c'est un homme adorable, charmant. Avec c'est autre chose. Ils nous rabaissent, moi et mes enfants, nous parlent comme des chiens.....Bref, je l'aime toujours ou l'aimais, je sais plus. Le temps passent avec ses bons et mauvais moments. Une soirée arrive et ce termine par un crochetage contre le mur, devant mes enfants, mais je l'ai mis a terre en deux seconde (vu son état d'ébriété). Je prend sur moi encore, essaie de le comprendre, de savoir pourquoi, mais les discutions se ressemble, c'est le néant. Après quatre année de vie commune, il sort en soirée, boit beaucoup, mets la voiture au fossé. Je m'empresse de lui venir en aide, mais je n'ai que des insultes, puis il fini par rentré a la maison et me saute a la gorge (je ne me suis pas laisser faire a ses insultes), résultat, c'est minutes ou je ne pouvais plus respirer ont été les plus longues de ma vie, je me suis vu mourir sous les yeux de mes deux plus jeunes enfants. heureusement que mon grand de 12 ans n'était pas la ! Que ce serait 'il passer? J'ai eu le courage de prendre mes enfants, mes valises et partir. Je me suis réfugier dans un mobilhomme (glagla pendant un mois de novembre). Je suis aller au urgence avec un léger écrasement de la trachée, et j'ai porter plainte contre lui. J'ai tenu 4 jours dans le froid et je suis revenue, et pour la première fois de sa vie il m'a demander pardon. Je reste la, avec lui sans savoir ou je vais, ni pourquoi. Je croit que j'attend qu'il me dise ne plus m'aimer. Il y a une semaine maintenant, jour pour jour, en allant a la gendarmerie pour ma plainte, ils ont remonter un dossier sur lui. Un sursis qu'il a pris il y a 5 ans, pour conduite en état d'ivresse (en moto et pas la plus petite). Je ne suis au courant que de ca. Il doit comparaitre immédiatement devant le juge d'instruction, et le soir même, a mon appel a la gendarmerie ils me disent qu'il l'ont mis en maison d'arret, 4 mois fermes. Le choc. Je me retrouve donc seule (mes enfants étant partis chez leur père pour noël). Je lui écrit, recoit sa première lettre d'une gentillesse!!!!! mais il n'a pas l'air de réaliser. Dans ma tête c'est le chamboulement, je dois tout gérer (j'ai l'habitude). Je lui écrit de nouveau aujourd'hui pour lui faire prendre conscience qu'il a un problème avec l'alcool, qu'il n'avait pas le droit de nous rabaisser ni même de me frapper. De mon coté je sais que je ne veux plus jamais ca! alors je lui écrit subtilement, toujours avec tact, je pèse mes mots. Je ne sais pas comment se passera le premier parloir, que diront les prochaines lettres. Actuellement il n'a que moi sur qui compter, donc je ne vais pas le laisser tomber, la prison c'est dur. C'est dur, mais au moins sa me laisse un peu de temps avec finalement se "break imposé", de réfléchir, de me poser les bonnes questions. C'est la troisième fois de ma vie que je me retrouve un genou a terre, au fond du gouffre. Mes enfants se sont pas la et eux aussi il font un break chez leur papa, pour leur plus grand bien. Je pourrai continuer à écrire...... A tout ceux qui me lirons, merci d'avoir pris cinq minutes de votre temps. Je répondrai au questions si vous en avez, je lirais vos réponsses si vous m'en donnez.

Merci