Brûlures à l'urètre

Flo20001010 Messages postés 1 Date d'inscription lundi 29 avril 2024 Statut Membre Dernière intervention 29 avril 2024 - 29 avril 2024 à 23:02
joraline Messages postés 44386 Date d'inscription dimanche 6 mai 2012 Statut Modérateur Dernière intervention 7 mai 2024 - 29 avril 2024 à 23:13

Bonjour à tous, je me présente, je m'appelle Florine et j'ai 23 ans. Je me permets de poster ce message sur ce forum afin d'obtenir des avis et/ou peut-être des réponses sur le problème que je rencontre actuellement.

En effet, depuis le 31/12/2023, il se trouve que j'ai des brûlures au niveau de l'urètre. Pour être plus précise, il s'agit de brûlures à la miction mais également hors miction et qui sont donc présentes quasi continuellement. Par moment, ces brûlures sont plus intenses et à d'autres moments elles sont moins fortes, mais même quand ces brûlures sont moins fortes, il y a toujours une petite gêne au niveau de l'urètre qui persiste. Je qualifie ces épisodes de "crises" quand les brûlures deviennent plus intenses. On dirait que ça fait comme une sorte de plaie par moment qui se situe au bout de l'urètre et quand je touche autour du méat urinaire au niveau de ma vulve, ça réveille également la "brûlure". De plus, ces brûlures sont également accentuées suite à un rapport sexuel. Mais je ne pense pas que ça soit la cause principale des brûlures car j'ai tenté de ne pas avoir de rapport pendant un certain temps, et j'avais quand même des "crises" qui arrivaient. De plus, je trouve que mon urine sent fort l'ammoniaque par moment et j'ai de temps en temps des douleurs au ventre (surtout sur le côté gauche) quand j'urine.

Pour revenir au début donc le 31/12/2023, j'avais comme l'impression qu'il s'agissait d'une cystite (j'ai déjà fait pas mal de cystites auparavant) alors j'ai pris une dose de Fosfomycine que j'avais d'avance. En effet, ayant eu beaucoup de cystites, mon médecin me prescrit des doses d'avance. Une analyse d'urine a également été réalisée suite à cela vers le 10/01/2024 puisque les brûlures ne passaient pas et cette analyse a montré un taux de leucocytes élevé donc signe qu'il y avait une infection. Cependant, le germe responsable n'a pas pu être identifié car je n'ai pas bien réalisé le recueil des urines ("Contamination bactérienne des urines lors du recueil par la flore péri urétrale" ). Suite à cela une deuxième analyse d'urine a été réalisée le 25/01/2024 et celle-ci a montré un taux de leucocytes plus faible et l'absence de bactéries, donc à priori pas d'infection urinaire ou en tout cas si j'en avais eu une, elle était passée.

En parallèle, au vu des brûlures qui persistaient, mon médecin a dit qu'il s'agissait peut-être d'une mycose. J'ai donc eu un traitement (crème éconazole) pendant environ 2 semaines mais après ces 2 semaines, les brûlures étaient toujours présentes.

Mon médecin a donc pensé à une IST, j'ai donc fait un prélèvement au niveau vaginal en laboratoire le 31/01/2024 qui a montré l'absence d'IST.

J'ai décidé suite à cela de me tourner vers mon gynécologue car je présentais également des douleurs au ventre et j'avais peur que ça soit lié à mon ovaire. Il a tout regardé et de son côté tout était OK et rien à signaler. Il m'a cependant dit qu'il fallait que je fasse le dépistage contre les IST mais avec un prélèvement au niveau de l'urètre et non seulement au niveau vaginal car c'est plus rare mais possible. J'ai donc refait un dépistage avec prélèvement urétral le 08/02/2024 qui a de nouveau montré l'absence d'IST...

Je me suis donc tournée ensuite vers un urologue, que j'ai vu le 05/03/2024, qui a dit que j'avais mon méat urinaire qui était proche de mon vagin et donc que je suis sujette facilement aux infections urinaires. De plus, il m'a prescrit du Toviaz pour limiter mes envies d'uriner et pour détendre ma vessie et aussi pour voir si ça pouvait jouer sur les brûlures urinaires. Il m'a également prescrit une échographie des reins, de la vessie (avant et après miction) que je dois faire le 03 mai 2024 donc vendredi. Pour finir, il m'a également conseillé d'établir un calendrier mictionnel. On a ensuite convenu d'un rendez-vous le 14 juin donc 3 mois après ce RDV pour faire le point sur la situation et pour programmer une cystoscopie si les brûlures étaient toujours présentes. Pour le moment, Toviaz ne permet pas de stopper ou de soulager ces brûlures.

En parallèle, j'ai également décidé d'arrêter la pilule contraceptive depuis le 15/03/2024 avec l'accord de mon médecin qui a dit que les brûlures urinaires pouvaient potentiellement être liées à celle-ci (pilule que je prend depuis bientôt 10 ans : Triafémi et je n'ai jamais eu de problèmes avec auparavant). Cependant, l'arrêt de la pilule n'a rien changé.

Suite à tout ça, une analyse d'urine a de nouveau été réalisée le 08/03/2024 mais toujours rien à signaler.

Un énième dépistage contre les IST a également été réalisé le 18/03/2024 pour vraiment écarter cette hypothèse mais rien à signaler.... En effet, les symptômes que je mentionne font direct référence à une inflammation de l'urètre / urétrite donc causée par une IST. Mon médecin m'a quand même prescrit un antibiotique (azythromycine) contre une IST causée par un mycoplasme car il a dit que lorsque le dépistage revenait négatif mais que des symptômes évocateurs d'une urétrite étaient présents, on pouvait traiter comme s'il s'agissait d'un mycoplasme. J'ai donc pris cet antibiotique pendant plusieurs jours mais suite à cela les brûlures étaient toujours présentes.

Depuis je désespère énormément (au bord de la dépression) puisque ça impacte tout autour de moi, que ça soit pour les activités du quotidien, le travail, ma vie intime.. je ne suis pas à l'aise quand je dois quitter ma maison car j'ai toujours l'impression de faire une cystite et donc que je vais devoir rester scotchée au toilette... c'est très handicapant et je crains d'avoir ce problème toute ma vie puisque ça fait actuellement 4 mois que j'ai ce problème... j'ai tenté pleins d'autres trucs... probiotiques, ovule pour hydrater, gel intime, lubrifiant... rien ne permet de me soulager... De plus, j'ai depuis le 01/04/2024 la mononucléose, ce qui n'a pas aidé au niveau psychologique.... heureusement, j'ai terminé la phase aigüe de la maladie !!!

Voilà j'ai essayé d'être claire et de bien résumer ce que j'avais. Bien sûr si vous avez des questions, je pourrais vous y répondre car j'ai sûrement zappé quelques petits détails qui pourraient potentiellement vous éclairer.

Je poste ce message afin d'avoir vos avis et peut-être de trouver des personnes ayant le même problème ou ayant eu ce problème auparavant et ayant trouvé une solution... Merci d'avance pour votre aide.

Cordialement,

Florine

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1 réponse

joraline Messages postés 44386 Date d'inscription dimanche 6 mai 2012 Statut Modérateur Dernière intervention 7 mai 2024 10 036
29 avril 2024 à 23:13

Bonjour,

Petit rappel de la charte de ce forum que tu as oublié de lire : 


"Les questions posées doivent être courtes et précises et ne pas donner lieu à un long exposé d'une situation personnelle trop complexe, qui risquerait d'être à la fois mal expliquée et mal comprise.

Je suis désolée, beaucoup trop de détails inutiles dans ta question, un résumé d'une dizaine de lignes serait suffisant pour obtenir une réponse d'un professionnel.


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