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8 réponses
J'ignore ce cas. Aux XVI et XVII èmes siècles, existait un système d'abonnement, payé une fois par an. Dans l'Egypte antique, les médecins étaient payés par l'Etat. Les riches chinois payaient leur médecin tant qu'ils étaient en bonne santé. Ils cessaient leur paiement en cas de maladie, car il y avait échec du médecin. Les honoraires de nos médecins étaient, à l'origine, des cadeaux pour les remercier. Leur valeur n'était pas fixée d'avance. On les nomme "honoraires" car ils sont un paiement d'une personne qui exerce une profession dite honorable.
Oui c'était comme ça dans certains pays, si ça existait maintenant en France, ils pointeraient tous au chômage
Bonjour,il me semble que c'est encore le cas en Chine,est ce plus efficace,et quand dit on que l'on est guéri.Et pour une longue maladie,comment faire?
Bonjour,
Dans ce cas, il ne faut payer la poste que quand la lettre est bien arrivée, payer nos dirigeants que s'ils ont tenu leurs promesses etc.
Oui, c'est fou ce qu'on y gagnerait en efficacité, les choses marcheraient tout de suite mieux.
En fait, ce qu'on paie ce n'est pas un service, c'est une tentative de service.
Le problème si on faisait cela, c'est que personne ne prendrait plus de risque. Il n'y aurait quasiment plus personne pour les fournir ces services.
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Bonjour,
Juridiquement, un médecin est contraint à une obligation de moyens et non de résultat (l'éventuelle guérison). Ses honoraires sont donc la contrepartie d'une juste et correcte mise en oeuvre de ses connaissances, de son expérience et de sa compétence (mais ce n'est souvent pas le cas, et les honoraires sont quand même rétribués). De là découle sa responsabilité exclusive même si le client n'est pas guérie. La guérison ne relevant donc pas de sa responsabilité. A nous à démontrer qu'il n'a pas mis tous ses moyens pour nous guérir si nous n'en sommes pas satisfaits !
Il y a une nuance entre la question et la pratique du paiement des chinois. Ils ne payent plus quand ils sont tombés malades, pas dans le cas où les tentatives de guérison ont échoué. Pour guérir d'une maladie, Hippocrate donnait trois moyens : laisser faire la nature, s'opposer par les contraires à la maladie ou aider la nature par le semblable. C'est toujours en vigueur, je crois. Alors Jacques, la réponse SVP ?
C' est à Venise en 1368, en marge d' une Loi qui exigeait des médecins et des chirurgiens qu' ils se rencontrassent une fois par mois pour échanger des notes cliniques et qu' ils tinssent leur savoir à jour en suivant un cours d' anatomie au moins une fois par an. L' étudiant en médecine arrivant au diplôme devait jurer qu' il ne prolongerait jamais la maladie d' un patient, qu' il surveillerait la préparation des remèdes prescrits et qu' il ne percevrait aucune quote-part du prix que le pharmacien demanderait pour ceux-ci. Le montant de l' exécution d' une ordonnance par le pharmacien était plafonné à 10 soldi. (Lanciani : "Golden days")
au niveau ethique je trouverai cela intolerable car helas des maladies se guerissent mais d'autres pas. je ne puis croire que ça se passe en france!!!!!que ça ai pu exsister peut-etre......et il y a des gens qui voit leur medecin plusieurs fois dans le mois pour des pecadilles....j'en connais!!!! alors bonjour le trou de la secu.....un medecin reste un medecin c'est pas 1 magicien.....
